Point S révèle des écarts de sécurité sur les pneus

Philippe Lamigeon
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POINT S

L'enseigne a commandé au TÜV SÜD Product Service des tests indépendants sur différentes gammes de pneus. Les résultats démontrent des disparités importantes entre pneus haut de gamme, milieu de gamme et économiques. 

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Les tests réalisés par le TÜV SÜD Product Service pour Point S portaient sur la tenue de route et le freinage sur sol sec et mouillé. Cinq marques haut de gamme, trois de milieu de gamme et trois économiques ont été testées. Le modèle de pneu retenu est le très demandé 225/40R18 92Y.1 de 18 pouces. 

Il ressort de cette étude que les pneus haut de gamme ont des performances nettement supérieures à celles des milieux de gamme et économiques. Ainsi, lors du freinage sur sol mouillé, les milieux de gamme ont besoin en moyenne de 2,33 m de distance de freinage supplémentaire pour un arrêt complet à partir de 80 km/h. Les pneus économiques demandent 4,47 m de plus. Les haut de gamme sortent aussi vainqueurs des tests d'adhérence et de tenue de route, alors que les milieux de gamme nécessitent une réduction de vitesse de 3 km/h pour obtenir la maniabilité d'un pneu haut de gamme et les économiques une réduction de 5 km/h. Ces tests donnent aux adhérents Point S  les meilleurs arguments sur la sécurité offerte par ces pneus et offrir aux clients le choix de la qualité plutôt que de l’unique prix.

« Dans le contexte économique difficile actuel, où l'inflation provoque une hausse des prix, il est naturel que les conducteurs soient plus soucieux des coûts lorsqu'il s'agit d'équiper leur véhicule. Nos clients finaux nous demandent de plus en plus de justifier les différences de prix entre les gammes de pneus. Nous avons donc commandé ces tests au service produit du TÜV SÜD pour obtenir un point de vue véritablement indépendant et objectif sur cette question. Ce que les tests ont confirmé, c'est que les pneus haut de gamme sont catégoriquement plus performants sur tous les critères de test critiques pour la sécurité. La question que nous devrions donc nous poser en tant qu’industrie est la suivante : peut-on vraiment mettre un prix à la sécurité ? », assure Christophe Rollet, directeur général de Point S.              

Philippe Lamigeon
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